On Thu, Jul 9, 2015, at 20:44, Nicolas GORALSKI wrote:
Donc il fallait que je donne mon GSM, n'ayant qu'un GSM perso, j'ai refusé ou alors il me faut un gsm pro. Le client a pété un scandale à ma direction en disant que c'était inadmissible que je ne communique pas mon GSM. La direction soutenait le client, ils trouvaient cela pas normal.
Tu pouvais accepter, mais en echange des GSM (perso) des personnes ayant fait un scandale. Appels gratuits pendant la nuit pour leur proposer des amelioration ou les avertir des risques potentiels. Appel d'information obligatoire a chaque incident. Evidamment, remboursement a 100% du forfait+conso, roaming compris.
- Temps compté en temps réel (tu résous en 15' c'est 15' pas 1h)
15 minute c'est "au reel" pour une intervention qui dure effectivement moins de 2. Compter ausi "au reel" entre le moment ou le telephone sonne et le moment ou tu peux aller prendre un douche. Le client qui rale pendant 5 minutes, c'est 5 minutes de travail. Le fait d'ouvrir son portable, connecter son VPN, regarder les details d'une alerte, rien que ca ca fait encore quelques bonnes minutes "au reel".
- Tu sais pas réparer c'est pas grave on verra le prochain jour ouvré Car on était d'astreinte sur des techno qu'on connaissait pas, 1 mec
d'astreinte pour Oracle, Appli, OS Sinon ça coute cher tu comprends.
Soit c'est grave, soit ca ne l'est pas. Si ca peut atteindre le lendemin, il fallait pastraiter en premier lieu. Si ca ne peut pas atteindre, faut mettre les moyens ($$$ compris) pour maintenir en etat de marche et reparer.
Coté Collegues : Certains collègues de l'époque ne se privait pas, on a le GSM pro, on coupe si pas d'astreinte. Ces personnes qui te disaient :
- pas besoin de doc je suis la !
- automatise pas t'es fou, on risque de perdre notre job
Avec ce que tu racontes sur la boite, ca ne m'etonne pas d'une telle attitude de la part des employees.
Mon chef preféré reste celui qui a dit : "ma conscience professionelle est limitée par mon salaire"
Par le revenu total (ne pas oublies les dividendes et les "avantages nature"/vie au dos de la societe).