Le 23/10/2013 08:24, nap a écrit :
Notre cas vient du fait qu'après avoir testé FusionInventory couplé
à GLPI on arrivait pas à ce que l'on souhaitait. Déjà GLPI n'est pas
aussi souple qu'il le prétend, on voulait une vue simplifiée pour
les tickets clients MAIS avec le champs équipement concerné. Nos
clients savent sur quel serveurs sont leurs applicatifs dans chaque
environnement, les docs qu'on fournit sont très claires là dessus.
Sur GLPI tu ne peux pas avoir ce champs en vue simplifiée. Si en vue
normale on enlève tous les champs dont on ne veut pas que le client
ait accès genre les SLA qui doivent être automatiques, cela implique
que nous non plus on est pas accès à ces champs.
Bref pas adapté, la notion GLPI de client est à mon avis plus
orienté pour un technicien / admin qui doit créer le ticket pour
l'utilisateur final par téléphone ou autre.
On utilise pas VMWare mais du Xen over Debian et on a toutes nos
informations sur l'état des machines, possibilités de les piloter en
cli.
Du coup le branchement se fait par un script qui parse le status.dat
de Nagios et qui nous le renvoie en json.
De là le résultat est utilisé dans l'intranet on a l'état de
supervision, les graphs récupéré des serveurs Munin, l'état des
sauvegardes sur chaque robot, ...
Pour être plus précis notre système est fait pour que chaque serveur
ait une nomenclature stricte sur son nom avec un FQDN derrière.
Ce fqdn est déclaré au minimum en ip v6 (on fait plus de réseaux
privés v4 chez nous), en v4 en plus si services publics.
De là notre déploiement de vm s'appuie sur ce fqdn, donc faut déjà
que la machine ait été déclarée dans le dns et l'ipam.
Quand la vm est déployée, la gate ssh ne connait que les machines
présentes dans la supervision, impossible de se connecter à un autre
serveur ou à des ressources externes par ip ou fqdn. Donc pour
pouvoir se connecter en ssh au nouveau serveur, ce dernier doit être
dans la supervision avec son type d'OS qui va mettre les sondes de
base en place.
Ce qui fait que lorsqu'on se connecte à un nouveau serveur, il est
déjà référencé en supervision et déclenche tout seul : la
métrologie, la présence sur l'intranet, les robots de sauvegarde,
les config ssh, ...
Après pour ce qui est de la gestion de parc, FusionInventory remonte
des infos sympas mais au final on remonte les mêmes avec la
supervision. On a dans les 20 checks par défaut pour un Linux qui
nous remonte tout ce dont on a besoin comme indicateurs.