Je ne suis pas d'accord, les candidats idéaux à de la virtualisation
sont les deux extrèmes (serveur qui ne fout rien, serveur qui
travaille beaucoup) car, justement, les moyens des uns font les moyens
des autres et, ainsi, tu peux mutualiser plus avant tes serveurs.


Dans le second cas, la virtualisation n'est utile que pour gagner du temps, des sysadmins : on clic pour ajouter une ressource. Mais ça a un coût: il faut entre 30 et 50% de serveurs en plus que pour obtenir la même chose.
Sinon Google, Facebook et Twitter ferait de la virtualisation (ils le font peut-être, mais pas pour l'architecture de prod).

Gain de temps, mais aussi "jouet" de sysadmins, ou encore pour combler un manque de compétence. Pour moi, la virtualisation ne doit pas servir dans le second cas décris par Pierre-Henry (scalability), mais pour des tas d'autres:
- plateformes de test d'architecture
- plateformes de test d'application multi environnements
- environnement de builds
- ...

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Greg